Party: D’JAL + Dj CUT KILLER
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Vendredi 31 Octobre 2014
Veille de jour férié – Soirée exceptionnelle
« D’JAL » fait son After Show
featuring
Dj « CUT KILLER » aux platines du B.Box Club
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/// LA SOIREE ///
Une date exceptionnelle pour une soirée unique !
Tout juste descendu de Paris, l’artiste humoriste D’JAL sera en exclusivité sur la scène du B.Box Club pour une After Show inédit et croyez-nous, on va bien se marrer @ B.Box Club !
A cette occasion, CUT KILLER le maître du Hip Hop Français prendra les commandes des platines du B.Box Club pour une ambiance résolument urbaine.
Nous vous invitons dès maintenant à réserver cette date inédite sur votre calendrier !.
► Infos/Réservations: 04 73 28 59 74 ou sur www.bboxclub.com rubrique « réservations »
► Réservations VIP: 06 61 16 13 63
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WARM UP: DJ VESTY
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/// D’JAL – BIOGRAPHIE ///
Aussi loin qu’il s’en souvienne, D’jal a toujours été heureux et servi par une imagination débordante, le tout couplé à un vrai sens du partage… Normal quand on est l’aîné d’une fratrie de 7 enfants !
A l’adolescence, le jeune homme se découvre une passion pour le cinéma grâce à une voisine qui lui fournit des quantités astronomiques de vidéocassettes. Des blockbusters aux films d’auteurs, il assure la promotion de ses coups de cœurs auprès de tout le quartier de sa banlieue parisienne, qui écoute dévotement les conseils de ce Pierre Tchernia de proximité. C’est aussi le début des premières sorties, des premiers kifs, des premiers drames. Faire le malin devient un kit de survie à usages multiples, qu’il s’agisse d’encaisser les taloches d’un père qui châtie trop à force d’aimer, d’embrasser la plus jolie fille du collège, d’apprivoiser les profs, d’honorer ceux qui sont partis trop tôt…
De petit boulot en petit boulot, D’jal atterrit dans un centre d’aide aux myopathes. Il s’attache à ces jeunes adultes dont il voit la vie s’écouler inéluctablement et les vanne sans vergogne parce qu’il sait comme il est bon de rire aux éclats même quand le souffle vous manque. D’jal noue une véritable amitié avec Lassana, un grand gaillard taciturne cloué dans son fauteuil roulant, que la maladie emportera trop vite.
S’il s’est pris pas mal de coups de pompes au derrière, c’est son premier coup de pompe à l’âme.
D’jal décide d’aller au bout de ses rêves, car la vie est courte. Et tout s’enchaine comme une évidence.
Celui dont le rêve de gosse était de devenir réalisateur découvre que la prestigieuse école de cinéma Louis Lumière se situe juste en face du foyer dans lequel il travaille depuis trois ans. Armé de son bagout, d’humour et d’une passion communicative, il réussit à mobiliser toute une équipe d’étudiants en cinéma et à monter des fonds afin de réaliser un court-métrage dont il rédige le scénario en une semaine.
D’jal prend alors conscience de sa capacité à raconter des histoires de façon drôle et décalée, se prend au jeu d’écrire des vannes n’importe où et n’importe quand, et l’idée de monter sur scène s’impose peu à peu dans son esprit. Il convainc alors le maire de sa ville de lui prêter les clés du théâtre municipal.
Ecrire, se mettre en scène, répéter, rythme son quotidien pendant des mois. Puis c’est la première représentation devant les amis et la famille, un succès, le début du bouche-à-oreilles, et les représentations s’enchainent…
En parallèle, D’jal court les scènes ouvertes, il impose son style et son personnage déjà culte du “Portugais”, avant d’exploser au “Jamel Comedy Club”. Puis il enchaine les représentations dans le monde entier :
il tourne au Maghreb, en Afrique Noire (Maroc, Tunisie, Algérie, Liban, Sénégal, Mali, Niger, Côte d’Ivoire…), mais aussi à Londres avant de revenir en France. Avec pour spécificité d’écrire et de proposer à chaque fois un spectacle unique, sur mesure, pour le public du pays qui le reçoit. Ce goût du défi de conquérir un auditoire à la culture différente, allié au plaisir de l’écriture, et à sa volonté de partager sa joie de vivre, son énergie débordante et son humour malicieux, font de D’jal un humoriste à part…
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/// CUT KILLER – BIOGRAPHIE ///
DJ Cut Killer fait les choses. Depuis plus de quinze ans, il est le DJ le plus emblématique du hip hop français, à la fois ici mais aussi à l’international, où il est le seul DJ Français (franco-marocain, pour être précis) a s’être fait un nom assez lumineux pour être estimé comme un pair par les plus grands DJ’s américains.
C’est d’ailleurs avec eux qu’il a appris le métier, comme l’ont fait avant lui les DJ Clue, Funkmaster Flex et consorts : en portant les caisses de vinyles, en observant comment on manie une foule avec deux bras de MKII, et apprenant à écouter les disques et comprendre la force d’un beat, d’un hook, d’une intro, d’un break…
Avant, Cut Killer était un jeune parisien qui aimait la musique. Principalement la batterie, que ce soit dans les disques de James Brown ou de Genesis, il y avait toujours quelque chose à prendre : le sens du beat.
Le futur DJ est adolescent quand le rap débarque en France : sur les ondes de Radio 7, puis de Radio Nova. Les passeurs se nomment DJ Dee Nasty ou Sidney. Bientôt, les soirées parisiennes n’ont plus rien à envier aux block parties du Bronx, et justement Cut Killer habite à deux pas du Globo où ont lieu les soirées « Chez Roger boite Funk » : une cave sur les boulevards où le vendredi soir, tout ce qui va faire bientôt la gloire du rap hexagonal (NTM, Mode 2, Assassin…) danse jusqu’à l’aube avec Public Enemy, Biz Markie ou, un soir, DJ Cash Money. Cette figure tutélaire du dee-jaying Américain met l’étincelle dans l’âme de Cut Killer. Il sera DJ.
Le temps de se casser le dos comme manutentionnaire tout en continuant ses études pour se payer les platines, il devient un activiste forcené du mouvement parisien naissant. Il intègre IZB, la première association qui promeut le hip-hop et organise des concerts, il pose des scratches en 1991 sur l’album d’Original MC, que tout le monde, même lui, a oublié, mais il franchit vite les étapes : son propre rôle, inoubliable, dans une séquence du film culte La Haine, DJ pour les live de MC Solaar, scratcheur sur l’album solo d’Akhenaton, d’IAM, et un show radio sur Radio Nova, comme ses modèles Red Alert ou Bobbito Garcia à New York.
Au milieu des années 90, Cut Killer est déjà un DJ respecté et actif qui compte assez pour que son simple nom sur une pochette suffise à susciter l’intérêt, puis le succès de sa nouvelle entreprise. Il a l’idée d’adapter à la France le concept qui a consolidé le hip hop new-yorkais, celui des mix-tapes. Il mixe les dernières nouveautés, intercalées avec les freestyles des valeurs montantes du rap français, et vend le tout sur des cassettes qui servent dès lors de bible pour les aficionados. A New York, Kid Capri, DJ Clue, Ron G se sont fait une réputation avec ce principe, à Paris, c’est Cut Killer qui en devient le patron : ses mix dynamiques, sa débrouillardise pour mettre la main sur les meilleurs maxis avant tout le monde, et son flair à dénicher les rappeurs d’ici rendent ses mix-tapes incontournables. Tout le gratin de la deuxième génération du rap français est passé par là : Sages Poètes de la Rue, Lunatic, 113 et tant d’autres…
L’étape suivante sera de mettre sur CD ce concept de mix agrémenté d’originaux. La série des “Hip Hop Soul Party”, des doubles CD’s mixés, démarre en 1996 chez MCA. Dès le deuxième volume apparaissent des inédits, avec Fabe, Busta Flex entre autres, tandis qu’un CD est consacré au hip-hop, le second au r&b. Le volume trois, lui, se partage entre un CD hip-hop international et autre consacré au hip-hop français. Toujours faire les choses : Cut Killer sent que le moment est venu de concrétiser l’idée qu’il avait eu avec East, son collègue rappeur tragiquement disparu : fonder un label qui s’appellerait Double H (pour Hip Hop). D’abord association de DJ’s, puis société de merchandising et enfin label de production, le HH est devenu en quelques années l’un des labels indépendants les plus performants du marché. En passant de Universal, à Small (Sony), le projet des “Hip Hop Soup Party” devient le “Cut Killer Show” pour un premier double CD en 1997 (avec une outro de Jamel Debbouze) suivi en 1998 de “Opération Freestyle”, un disque tout entier consacré à l’underground hexagonal. Cut Killer et de ses associés produisent en 1999 : l’album R&B 2000, et l’album collectif Double H DJ Crew, mais aussi des artistes aussi respectés que Fabe, Doudou Masta ou le 113, auteurs avec “Les Princes De La Ville” d’un album certifié platine et deux fois triomphateurs aux Victoires de la Musique 2000. L’empire Double H se développe encore avec un team de street marketing, une ligne de vêtement HH Wear, une société d’édition, Eastory Editions, suivie d’un autre label de production et d’édition, Eastory Production. En parallèle, Cut Killer se fait booker par l’agence Chaos Prod, crée par Chakri, son frère.
Désormais, Cut Killer règne en maître sur le marché alors en pleine ascension de la musique urbaine. Les séries Hip Hop Soul Party et Cut Killer Show se suivent en tête des charts et la collection de disque d’or et de platine s’agrandit. Il délègue le r&b à son complice de longue date DJ Abdel, la West Coast au spécialiste DJ Cream, puis se frotte au dancehall avec Ragga Killa Show, avant de revenir au son français avec 1 Son 2 Rue. Au fil des ans, Cut Killer a réalisé ou produit une vingtaine d’albums mixés qui ont tous rencontré leur public.
Fanatique de cinéma, Cut Killer ne pouvait pas rester sans faire aussi les choses de ce côté-là de l’entertainment. Depuis La Haine, où son mix à la fenêtre de la cité envoyait Edith Piaf et NTM sur le beat de KRS One avait imprimé sa légende, il lui tarde de revenir exercer ses talents sur grand écran. Il signe donc plusieurs titres sur les B.O. de Gamer de Zak Fishman, de The Dancer de Fred Garson produit par Luc Besson, puis sur Un Ange de Miguel Courtois. Il signe la totalité du score de La Squale de Fabrice Genstal avec Herve Rakoto et Sofiane Le Cat’s, puis place des morceaux régulièrement sur les films qui font l’actualité : Les Frères Pétard, Le Raid de Djamel Bensallah, Trois Zéro de Fabien Onteniente, Peau D’Ange de Vincent Perez…
Après avoir tout essayé (et réussi), Cut Killer se recentre au milieu de la décennie vers les fondamentaux : le dee-jaying. A la radio, après avoir sévit quatre ans sur Radio Nova, il intègre Skyrock, où il reste aujourd’hui le dernier rempart du vrai hip hop, avec un show hebdomadaire qu’il présente par le biais des ondes (ou du podcast) le nerf de l’évolution du hip-hop mondial, dont il est toujours un passeur hors pair. Sa notoriété ayant dépassé depuis longtemps les frontières, il est le seul DJ Français à être booké aux USA par le biais de deux collectifs prestigieux qu’il a intégré, le DJ Big Dawg Pitbulls de Funkmaster Flex, et le Shadyville DJ’s de 50 Cent.
La technique a évoluée, les vinyles sont remplacés par des fichiers stockés sur des MacBooks, mais l’art reste le même : manier les platines, s’assurer de mettre la main sur les meilleures nouveautés en temps réel, et faire monter l’extase des danseurs jusqu’au climax. C’est ce que fait Cut Killer, avec une versatilité sans pareille (il mixe urbain, puisque c’est sa fondation, mais il peut à l’occasion jouer electro, rock, pop, reggae…), dans tous les clubs de la planète. Chine, Europe, USA, Australie, il parcourt le monde pour apporter aux clubbeurs leur ration de bonnes vibes. Cut Killer est à l’aise partout, parce que sa maîtrise dompte les barrières de langues et de géographie. Il peut mixer pour de purs aficionados du hip-hop pur et dur dans un club Suisse, puis jouer devant des foules énormes qui découvrent cette culture en Extrême Orient.
Il est le DJ incontournable des événements people, comme les soirées du Festival de Cannes, les fêtes de mariage de ses amis Tony Parker et Eva Longoria, ou Luc Besson. Mais il est aussi celui qui visite les clubs de France (et d’Europe) pour le show Shake Ton Booty, filmé par MTV, une soirée mobile, avec Cut aux platines, et quelques invités artistes pour des soirées enflammées qui font de l’émission l’un des plus gros succès de la chaîne musicale.
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/// RESEAUX ///
D’JAL
- http://www.just-djal.com/
- https://www.facebook.com/djalcomedy
- https://twitter.com/djalcomedy
- https://www.youtube.com/user/bestofdjal
CUT KILLER
- http://www.djcutkiller.com/
- https://www.facebook.com/CutKillerofficial
- http://instagram.com/djcutkiller
- https://twitter.com/DjCutKiller
- https://www.youtube.com/user/DJCutKillerofficial
- https://soundcloud.com/djcutkiller
- https://plus.google.com/101703819102005989409/posts
- https://vine.co/u/948227411470888960
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/// PARTENAIRE DE LA SOIREE ///
- CHAOS PRODUCTIONS
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/// TARIFS ///
Entrée: 12 euros
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/// NAVETTES GRATUITES ///
Retours échelonnés à partir de 4h du matin (4h, 4h45 et 5h30).
23h15 – Bas du Viaduc / Cours Sablon (Le long du Jardin Lecoq)
23h25 – Ecole Pierre Mendes France (Boulevard Pochet Lagaye)
23h35 – Entrée des Cézeaux (Avenue des Landais)
00h05 – Bas du Viaduc / Cours Sablon (Le long du Jardin Lecoq)
00h15 – Ecole Pierre Mendes France (Boulevard Pochet Lagaye)
00h25 – Entrée des Cézeaux (Avenue des Landais)
00h55 – Bas du Viaduc / Cours Sablon (Le long du Jardin Lecoq)
01h05 – Ecole Pierre Mendes France (Boulevard Pochet Lagaye)
01h15 – Entrée des Cézeaux (Avenue des Landais)
01h45 – Bas du Viaduc / Cours Sablon (Le long du Jardin Lecoq)
01h55 – Ecole Pierre Mendes France (Boulevard Pochet Lagaye)
02h05 – Entrée des Cézeaux (Avenue des Landais)
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/// INFOS ///
B.BOX CLUB – CLERMONT-FERRAND
★ THE BEST NIGHT CLUB IN CLERMONT-FERRAND SINCE 2005 ★
★ OUVERTURE: Jeudi / Vendredi / Samedi / Veilles de jours fériés
★ HORAIRES: 23h30 - 5h
★ 2 SALLES: La Grande Salle / Le Club
★ INFOS / PHOTOS / SOIREES / RESERVATIONS…: www.bboxclub.com
★ RESERVATIONS STANDARDS (TABLES): 04.73.28.59.74
★ RESERVATIONS LE ROYAL - VIP (TABLES): 06.61.16.13.63 (Thomas)
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B.Box Club
Sortie 1 – A75
29, rue de l’Eminée
La Pardieu
63000 Clermont-Ferrand
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Invited: Christian Koul à Well, Cindy Carmo, David Millot Perso, Benjamin Cherasse Photographe, Sista Harza So, Chakri Hajoui, Bulent Bilo, Jerome Mercey, Céline Molling, Philippe Faure, Alan Sauzedde, Rémi Chaillon, Helene Ferreira, Camel Benbouchrit, Sylver Moé, Eléonore Damiolini, Humberto Tozzi, Mac Fly Jérémie, Quentin Rt, Clément Drouin, Bruno Daffit, Gandja Météor, Walid Mansour Laftess, Alexandre Parésowvitch, Robert Ravel, Mohamed M'bolhi, Melissa Chanteuse, Antho Babar, Marie Lopes, Estelle Pades, M'zlle Virginie, Lucie Txr, Jean Yves Elie Caumel, Raphael Reberter, Jérôme Koild, Annabelle Musso, Jennifer Ferreira, Camille Bibi Forestier, Audrey Pinto, Virginie Bohatier Hausermann, Marion Cognard, Do Couto David, Raca Annecy Danse, Maria Carvalho, Lucie Parrilla, Marian's Mariano, Antony Ferreira Monnet, Sebastien Carlin, Luc Brunier, Jonathan Pelmard, Jessica Louise Assis-guerreiro, Deejay Vesty, Deejay Mirage, Kevin Soares, Yann Trebuchon, Aïna Lalà Rabenjamina, Morgan Rouches, Laure Oups, Thomas Lipert, Enzo Boucheron, Laila Loumghari, Charlotte Denizot, Nicolas Boissier, Lili Lorely, Lumiere Nora, Mélissa Garcia, Nazim Abbad, Lu Divine, Rodolphe Bar, Axel Carvalho, Mickael Garneau, Lau Raa, Uliya Bodun, Antoine Jacinto, Romane Cognat, Docteur A Docteur A, Lily T. DaSilva, Sosso Nyh, Guajee Kutcher Guetta, Lucia Kala, Mathieu Delarbre, Caroline Lyne, Benjamin Lacroix, Lora Rialland, Flox Chene, Romain Liothier, Presciilla De Sousa, Jocelyn Murat, Jordan Gemany, Jérôme Pic, Jo Tintin, Martin Levigne, Wonderoumane Vanessa, FlOo Nairo, Thomas Denaison, Philippe Renard, Chloé Novais, Lola Soko Assiana Montpellier, Jozef Žembery, Elodie Qdv show more »